vendredi 6 mai 2016

Mes nouveautés, ma nouvelle série: l'Ordre des 5 dragons. Ils sont en librairies depuis le début de la semaine. Bonne lecture !

Quelles belles couvertures ! Voici les résumés de mes deux livres.

Résumé du tome 1, le Mystère d'Abraxas :
Désirant une vie meilleure pour leurs dragons attaqués à de nombreuses reprises par des créatures féroces provenant d’Abraxas, les chevaliers du Pentacle se dirigent vers ce continent maudit. À peine arrivés à quelques kilomètres des lieux, une mystérieuse tempête s’élèvera et s’abattra soudainement sur eux.
Blessé et affaibli, Andrick se réveilla dans une grotte, entouré de sirènes inconnues. Devenu amnésique, le porteur du pentacle ne se souvint pas d’elles, ni même de son propre nom. Surmontant sa solitude et cet épouvantable problème, il apprendra qu’un être exécrable du nom d’Hybris a la main mise sur tous les êtres vivants d’Abraxas, y compris sur les 5 dragons élémentaires. Sera-t-il en mesure de retrouver ses pouvoirs magiques, de sauver ses amis, de libérer les dragons et de vaincre Hybris ?



Résumé du tome 2, la Colère de Poséidon:
Apprenant la disparition de sa fille Imarène, Poséidon éprouve une vive colère contre
Andrick, les enchanteurs et tous les vivants d’Abraxas. Avec ses frères Zeus et Hadès, ils
feront la démonstration de leur puissance. Durant trois jours et trois nuits, le continent
Abraxas vibrera aux rythmes des volcans, des tremblements de terre, de la pluie, d’éclairs et des
marées gigantesques.
Plus que jamais, l’avenir de la troupe des Chevaliers du Pentacle et des dragons repose sur les épaules d’Andrick Dagibold, un jeune mage de 15 ans, porteur d’un puissant talisman, un pentacle. Hélas ! À Abraxas, en plus de vivre les contrecoups d’une colère insensée de Poséidon, une personne malicieuse fera tout en son pouvoir pour s’emparer de ce précieux objet tant convoité.







lundi 29 février 2016

Le mot de la fin

Un gros merci de m’avoir lu!


L’expérience d’essayer de développer en peu de temps trois histoires différentes était assez prenante.

Bien que l’histoire du Grimoire de Clara a été difficile à faire lever, il n’en reste que pas moins que je crois que cette histoire a du potentiel. En effet, tout le long du processus, je me suis censurée, car je voulais une Clara joyeuse, amusante et non une Clara qui sombre du côté des ténèbres.

Au départ, je voulais quelque chose de gai et de loufoque pour ma Clara. Comme, l’histoire n’allait pas dans ce sens, j’ai essayé d’écrire des situations joyeuses. Maintenant, après une semaine sans le travailler, j’ai une meilleure compréhension de ce que sera cette histoire. Elle commencera d'un ton joyeux et plus ça va avancer, plus Clara sonde son côté sombre, va-t-elle suivre cette avenue ou est-ce que sa conscience va se réveiller et tout faire pour redevenir la Clara d'avant?

Pour les deux autres histoires, je crois que l’histoire de mes chasseuses de fantômes sera ma prochaine série sur laquelle je vais me pencher. Je la vois drôle et pleine d’actions. Beaucoup de surprises!

Quant à Iréna Macarthur, ce sera une belle série où l’héroïne devra démontrer beaucoup de courage. De grands drames sont à venir et beaucoup de voyages entre le Canada et la Grande-Bretagne.

Et vous, laquelle vous a le plus intéressée?

vendredi 26 février 2016

Le pauvre Houbou

Que devient Houbou? Ce sera un charmant fantôme qui deviendra très utile à nos belles demoiselles chercheuses de fantômes. En effet, comme Houbou se fait harceler par des confrères, il a développé la faculté de les détecter à plus de cent mètres toutes les créatures. De plus, il détecte s’ils sont mauvais ou bons.

 À cette fin, Laurence trouva une façon de le protéger en le réfugiant dans un médaillon qu’elle porte à son cou. Ça fonctionne très bien, mieux que tous les appareils électroniques qu’elle possède. En contact permanent avec Houbou, ce dernier lui révèle les moindres monstres dans les parages. Mais ce ne sera pas long que le grand Seigneur Gronarme veuille s’emparer de ce médaillon détecteur de fantômes.

Durant les festivités de la Saint-Jean, Gronarme pourchasse Laurence, la détentrice du médaillon détecteur de fantômes. Il réussira son plan. Elle se fera kidnappée et amenée au haut de la tour du siège social de Gronarme. Ce dernier ne désire qu’une chose : la tuer de ses propres mains en la faisant souffrir longuement.

Hélène et Alexandra parviendront-elles à temps pour la délivrer? Qu’est-il arrivé à Houbou? Les méchants fantômes s’amusent avec le médaillon. Réussiront-ils à le sortir de son refuge? Hélène et Alexandra, arriveront-elles à se défaire de toutes les autres créatures éthériques et à récupérer le médaillon?

Lundi ce sera le mot de la fin de cette belle aventure. 

jeudi 25 février 2016

Le siège social de Gronarme


Cet édifice est la Tour KPMG, au 600, boulevard De Maisonneuve Ouest, est le 8e plus haut gratte-ciel de Montréal. Il mesure 146 mètres, pour 35 étages. Il a été bâti en 1987 par la firme Menkès Shooner Dagenais Létourneux Architecte.

Cet édifice a plusieurs noms : Place de la cathédrale, Tour KPMG, ou encore Maison des coopérants. Depuis 2006 le nom est Tour KPMG.

Moi, je le connaissais sous le nom de la maison des coopérants et j’ai été la chargée de projet de la surveillance de cette toiture, seulement la partie plate lors de sa construction.

Le haut de l’édifice me fait penser à deux choses : à Batman et à la lingerie Wonderbra. J’y vois les oreilles de Batman et pour la lingerie Wonderbra, je vous laisse à votre imagination. C’est pourquoi j’imagine Gronarme s’établir au sommet de cette tour pour prendre le contrôle de Montréal. Cet édifice contient dans son sous-sol un centre commercial, les Promenades Cathédrale, tous reliés au Montréal souterrain. C’est ainsi que les esprits se répandent dans Montréal par cette partie souterraine.

Laurence, Hélène et Alexandra seront vite débordées d’appel de gens terrifiés. Elles auront à résoudre un énorme problème. Gronarme n’aspire qu’une chose. Faire partie des festivités de la Saint-Jean et du défilé.

En quoi pourrait bien ressembler? Je n’ai encore aucune idée. En avez-vous une?


mercredi 24 février 2016

Alerte sur la ligne verte!

Ce sera le titre de mon tome : Alerte sur la ligne verte!



Leur pâtisserie est soudainement sous l’emprise de fantômes. Que se passe-t-il? En entrant dans leur boutique, tout est chambardé. Il y a plein de crémage dans la boutique. Hélène et Alexandra s’empressent de nettoyer avant l’arrivée des employés. Laurence cherche la source avec ses appareils. Elle ne trouve rien. Elle croit que durant le jour, les fantômes dorment. Elle ne saura rien. Durant le jour, elles essaient de ne rien dévoiler à personne.




En soirée, après qu’elles ont cuisiné et tout mis en plan pour le lendemain, Laurence met ses appareils en place et découvre qu’il y a un fantôme résident dans la boutique. Il dit se nommer Houbou et être victime d’intimidation par d’autres fantômes.

Quels autres fantômes? Houbou est discret. , les caketoyzs sont populaires. Dans leur boutique, Laurence a créé un petit coin pour déguster les pâtisseries. En offrant du café, elle surprend une conversation. Il semble que la ligne verte du métro de Montréal soit infectée de spectres et autres créatures éthériques. Il n’en faut pas plus pour les 3 pâtissières pour enquêter sur le sujet.

Bien vite, elles feront la rencontre de spectres terrifiants, mais le plus malin d’entre eux est sur le point de se réveiller d’un long sommeil. Et s’il se réveille, Montréal risque de vivre un désastre des plus spectaculaires. Une invasion de fantômes. D’ailleurs, Gronarme, ce monstre légendaire prévoit une fête à sa manière pour fêter le 24 juin.
À suivre.


mardi 23 février 2016

Des macarons spéciaux.

L’agente d’immeuble trouve un endroit libre, près de la station de métro McGill qui correspond parfaitement. Hélène trouve que les mensualités sont tout à fait raisonnables pour un endroit aussi central à Montréal. La seule à avoir quelques papillons au ventre est Alexandra. Elle regrette presque d’avoir lâché son emploi de secrétaire pour se lancer dans l’inconnu tandis qu’Hélène aucun remord de quitter son emploi de technicienne. La seule qui semble vouloir garder son boulot à temps partiel est Laurence. Pour l’instant, c’est la fin du printemps et elle ne donne pas de cours durant la session estivale. Les trois sont libres et prêtes à s’attaquer à leur nouveau boulot de pâtissières.

Laurence voit grand. Lorsqu’elles prennent possession du local et qu’elles réaménagent les lieux, Laurence affirme d’un air convaincu que leur boutique sera des plus courue à Montréal en raison de leur originalité et de leur spécialité. Pendant deux semaines, elles mettent le local à leur goût.

Demain, ce sera la grande ouverture. Les trois font différents macarons de toutes les couleurs et aux saveurs variées (poires, noix de coco, vanille…) et en sont très fières.


Elles ouvrent leur boutique. Journée terrible. Elles ne vendent presque rien. Les jours qui suivent aussi. Remue-méninge. Vive discussion. Durant la discussion, Alexandra bonne en dessin dessine des monstres. Laurence a une idée de génie. Des macarons ayant l’aspect de petits monstres comme Kirby, les personnages de Monster & Inc, de Sheegoth, Flyff et bien d’autres monstres.


Les jours qui suivent sont meilleurs, mais pas extraordinaires. Elles décident d’aller plus loin avec leurs macarons.


– Faisons des caketoyzs, dit Laurence.


Dans l’arrière-boutique, Alexandra dessine des monstres. Laurence qui a déjà une bonne expérience dans le paranormal et les fantômes la guide. Hélène et Alexandra sont de superbes exécutrices pour les fabriquer.


Vendredi arrive. Elles exposent leurs œuvres et c’est l’engouement. Elles sont tellement débordées les jours qui suivent qu’elles doivent engager du personnel. C’est fou. C’est un succès. L’entreprise est partie.


Un jour, une dame affolée entre dans la boutique en criant qu’un des caketoyzs ressemble à un des monstres chez elle. Laurence sent tout de suite l’appel pour aider cette dame. Les deux autres adhèrent pour mener une investigation chez elle. En deux temps et trois mouvements, afin que la boutique reste ouverte durant la fin de semaine qu’elles font leur enquête, la boutique sera tenue par la mère de Laurence, Isabelle dans la jeune cinquantaine, enseignante aux secondaires qui ne refuse pas la possibilité de changer d’emploi et sa tante, Corinne qui a 55 ans et qui regrette d’avoir pris sa retraite trop tôt.


En quelques jours, les deux dames responsables sont débordées par les histoires de fantômes. Elles qui n’aiment vraiment pas ça! Laurence les convint d’aimer les fantômes. Finalement, les dames acquiescent.


La boutique de caketoyzs prend une nouvelle tournure. C’est le siège social de la lutte aux fantômes. Pendant que Isabelle et Corinne s’occupent du personnel de la boutique, les trois jeunes femmes enquêtent sur des phénomènes paranormaux et là, le plus gros est à venir.

http://blog.cerfdellier.com/les-nouvelles-patisseries-tendances/

lundi 22 février 2016

Des visions!

Troisième série : Macarons et caketoyz. Style : SOS Fantômes (ghostbusters). Trois filles au talent culinaire hors du commun qui chassent les fantômes les fins de semaine. Elles sont propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal. Elles sont reconnues pour leurs caketoyzs (petits gâteaux en forme de personnages – surtout des monstres). Humour garanti.

Plus de détails sur mes personnages
Laurence Desmarais, bachelière en physique, brunette aux yeux verts, chargé de cours à l’université et au Cégep, à temps partiel, 23 ans, patenteuse d’inventions électroniques.

Alexandra Larochelle, bachelière en archéologie, brunette aux yeux bleus, secrétaire chez des avocats, 25 ans, excellente en dessin et en BD.

Hélène Dagenais, bachelière en écologie, brun foncé aux yeux bruns, a un emploi depuis un an comme technicienne de laboratoire. Âgée de 22 ans, elle trouve son emploi des plus ennuyants. La seule qui possède une auto, une vieille Ford Esdel, 1957 de son oncle. Partout où elle passe, elle se fait remarquer. Une vraie débrouillarde dans des situations difficiles. En forêt ou dans une tempête de neige, elle a le sens de l’observation et ne perd jamais le nord. Elle excelle en mécanique auto.

Des amies depuis leur secondaire, elles ont deux points communs : elles sont des pâtissières hors pair et elles ont le sens de l’entrepreneuriat.


C’est décidé. Elles veulent lancer une pâtisserie. Décision facile puisque leur emploi est soit pas assez payant et/ou inintéressant.

Les trois filles sont à la recherche d’un local commercial. Chacune a une vision de l’emplacement de leur future pâtisserie. Hélène le veut dans une belle petite ville à la campagne, loin des polluants, comme à Sainte-Agathe. Alexandra, le veut dans le vieux Québec, une ville riche en artéfacts anciens et enfin, Laurence dans un quartier proche de l’université McGill pour poursuivre son travail à temps partiel comme chargé de cours.

Les trois argumentent chacune de leur côté dans un restaurant. Ni Alexandra, ni Laurence ne veulent vivre à la campagne. Hélène n’en démord pas. Leurs discussions sont si vives qu’elles se font expulser du restaurant. C’est alors que Laurence passionnée de paranormaux décide que c’est la planche à Ouija qui décidera de l’emplacement de leur future pâtisserie. Elle les invite à son appartement.

Elle fera appel à l’esprit de son arrière-grand-père, Ernest Desmarais. Lorsqu’Hélène lui demande la raison d’invoquer cet esprit. Elle leur explique qu’Ernest est l’inventeur d’équipements de détection d’esprits. Elle nomme les quelques inventions qu’il a construites. Les deux autres en sont fascinés.

Laurence est tout à fait enchantée que ses deux amies de longue date ne soient pas effrayées. Dans sa famille, discuter d’esprits, de fantômes et de paranormal est tabou. Les filles s’installent dans l’appartement de Laurence. Ouija ou plutôt l’esprit d’Ernest statue que l’emplacement sera au centre-ville de Montréal. Laurence danse et les deux autres font la moue.

Laurence pour les égayer sort de son placard les inventions de son grand-père et les inventions modifiées par elle et qu’elle a rendues miniatures grâce à l’électronique. Laurence se débrouille vraiment en électronique. Hélène qui vit dans une maison ancestrale à Boisbriand sur le chemin de la Côte du Sud suggère de tester les appareils chez elle. Elle dit :

– La nuit, il y a de drôle de bruits suspects. Au début, je croyais que c’était les tuyaux de plomberie ou un voleur ou une petite souris. Na! Ce n’était pas ça.

– Yé! crie de joie Laurence. Ce sera notre première enquête.

Les trois font un tope là. Laurence suggère d’apporter de l’alcool pour fêter leur décision de louer un lieu commercial à Montréal.

Eh oui! Avec les appareils, elles détecteront des esprits et elles leur parlent et n’ont pas peur de les vexer. Mais, comme en arrivant au logement d’Hélène, elles ont un peu trop versé dans l’alcool, elles ne sont pas sûres de se remémorer les bonnes choses le lendemain matin. Les trois ont l’impression que les esprits ont plutôt eu peur d’eux et qu’elles se sont bien amusées.

Quant aux esprits, ils n’ont pas dit leurs derniers mots. Cette intrusion de ses trois dames dans leur vie immatérielle les perturbe. Ils espèrent se venger.

À suivre à demain